Balade au Marché [Pv-> Aran]

Callia avait décidée d'aller au marché mais malgré elle, son mari ordonna que des gardes l'accompagnent. il fut évident qu'elle demanda au Roi d'y aller seule mais il refusa, lui disant qu'il était mieux pour sa sécurité qu'elle ne soit accompagnée, particulièrement ces temps-ci car la guerre avait été déclarée enter les deux Royaumes. Bref, Callia se retrouva sur un char qui en fait, était un lit très confortable porté par quatre hommes. Elle était couchée sur le côté et tenue par son coude qui était appuyé sur le lit. Elle regardait tout les petits kiosque dont les vendeurs la suppliait de jeter un coup d'oeil et d'acheter. Puis, elle vit un Kiosque de bijoux.

"Arrêtez-vous !"

Ordonna-t-elle, d'un ton autoritaire. Aussitôt, les quatre hommes déposèrent le char et elle s'avança vers le kiosque pour regarder les beaux bijoux scintillants. Elle en essaya quelques uns mais ne savaient le quel choisir.

Partant tôt le matin pour faire des emplettes, Aran s’était dépêché à partir vers le marché pour pouvoir y acheter quelques articles. Arrivé là-bas, bien sûr les paysans le reconnaissait, il se faisait mendier, il voyait quelques amis. Bien sûr, la journée passa très vite, il passait d’un endroit à un autre. Puis, alors qu’il se préparait à partir, il vit un char, un beau char, conduit par 4 gardes et la personne qui se trouvait dans celui-ci était…. Était sa douce Callia… il s’approcha du char, et dit aux gardes pendant qu’elle essayait ses bijoux, de rentrer, qu’il allait raccompagner mademoiselle ensuite. N’ayant pas le choix de lui obéir, ils partirent.
Ensuite, il s’Approcha d’elle et se mit à regarder des bijoux comme si de rien n’était, et dit :

« Aucun de ces bijoux, ne pourrait convenir à une femme telle que toi… aucun d’eux n’est à l’égal de ta beauté! »

Il se tourna ensuite vers elle, lui offrant un sourire joueur, tout comme il aimait le faire.

Callia fut surprise d'entendre une voix lui parler, elle en sursauta légèrement, très légèrement. Puis, elle se retourna, voyant que c'était Aran, le fils du Roi et son amant. Elle lui jeta un sourire doux, et baissa légèrement les yeux tant dis que ses joues rougirent quelque peu.

"Merci..."

Elle releva les yeux vers Aran pour lui sourire à nouveau.

"J'aime bien cette bague... qu'en penses-tu ?"

Effectivement, la bague était jolie, faite d'or, ornée d'une pierre de couleur bleu. Elle observait attentivement son amant, attendant une quelconque réaction de sa part face au bijou que lui montrait la jeune grecque.

Ensuite, elle jeta un coup d'oeil aux gens aux alentours, elle prit la main d'Aran et l'attira discrètement dans une ruelle qui était déserte. Elle s'approcha très près de lui et l'embrassa.

"J'ai hâte que tu devienne Roi, commme ça, je pourrais t'embrasser comme je le veux sans devoir me cacher..."

Elle lui sourit.

Elle le remercia, et lui montra une bague, qu’elle aimait. Serte, la bague était jolie, mais il ne pouvait éloigner son regard du visage de Callia. Elle était d’autant plus belle que cette bague, qui ne valait même pas le huitième de la jeune femme.
Puis doucement, elle prit la main du jeune pour l’attirer dans une ruelle, et c’est la qu’elle l’embrasse. Pour se doux baiser, il déposa ses grandes mains sur les hanches de sa belle, et la tira un peut pour qu’elle soit coller contre lui. Lové l’un contre l’autre, elle lui dit quelques mots, qui fit légèrement rire le prince, et il dit :

« Et moi donc! J’ai si hâte que tu sois mienne, que je puisse t’enlacer et t’embrasser, devant tout le monde. J’ai hâte que tout le monde sache que… que c’est toi que j’aime! »

Pendant ces paroles, il avait baisser la tête, et avait pris l’une des mains de Callia, puis doucement, il baisa celle-ci, avant de laisser tomber sa main, et de lui offrir un autre baiser. Ses mains glissaient sur les courbes de Callia, effleurant parfois ses seins, ses fesses, glissant le long de son dos. Et de plus, le simple fait d’être si près de sa Muse, lui procurait des frissons, dont il n’aurait jamais osé imaginer!

[HJ : Bon Oui... je sais! C,est minuscule. MAIS! Ua moins j'ai répondu !]

Toujours contre Aran, elle l'écouta parler et fut heureuse de ses dires, malgré que lorsqu'il avait dit qu'il l'aimait, elle s'était senti mal à l'aise car elle ne savait pas ce qu'elle ressentait pour le Prince mais ne dit rien et se contenta de lui sourire doucement.

Puis, il lui baisa la main, ce qui la fit sourire, d'un sourire empreint de joie et d'amusement. Lorsqu'Aran se mit à l'embrasser et la caresser, elle frisonna à son tour. Elle se recula doucement, afin que son dos s'appuie contre le mur de pierre de la ruelle, gardant cependant Aran auprès d'elle, le serrant fortement contre elle, toujours en l'embrassant avec passion. Elle mit subitement fin au baiser.

"Tu m'aimes... autant que les autres femmes....?"

Demanda-t-elle, presque en un murmure. À vrai dire, elle voulait savoir si simplement il aiamit les autres femmes.